When a belief vanishes, there survives it—more and more vigorously so as to cloak the absence of the power, now lost to us, of imparting reality to new things—a fetishistic attachment to the old things which it did once animate, as if it was in them and not in ourselves that the divine spark resided, and as if our present incredulity had a contingent cause—the death of the gods.[Quand disparaît une croyance, il lui survit — et de plus en plus vivace pour masquer le manque de la puissance que nous avons perdue de donner de la réalité à des choses nouvelles — un attachement fétichiste aux anciennes qu’elle avait animées, comme si c’était en elles et non en nous que le divin résidait et si notre incrédulité actuelle avait une cause contingente, la mort des Dieux.]